vendredi 20 février 2009

Mutins ou Mutants: aux peuples de choisir

Mutins ou Mutants: aux peuples de choisir

Une nouvelle campagne de Kokopelli: Lutins, Mutins, dans les Jardins

L'Association Kokopelli a l’extrême plaisir, en toute coquinerie et mutinerie, de lancer sa nouvelle campagne “Lutins, Mutins, dans les Jardins. Polleniseurs, Humuseurs et Convivialité”.

Séminaires de Tom Wagner en Bretagne et en Suisse

Nous proposons deux autres séminaires de 2 jours, animés par Tom Wagner, sur les thèmes de la création variétale de tomates et de pommes de terre, sur leur sélection (en fonction de divers critères de saveur, de couleur, etc), sur leurs "résistances" (maladies, sécheresse, etc). Ces séminaires auront lieu :

- Les 25/26 septembre 2009 à Morlaix, en Bretagne.

- Les 3/4 octobre 2009 en Suisse, dans la région du Lac Léman.

Les réservations pour ces deux séminaires, avec paiement d'arrhes, peuvent s'effectuer en ligne sur le site de Kokopelli France ou également, pour la Suisse, auprès de Sandra Baeriswil du Jardin des Charrotons.

Céréales Vivaces

Dans le cadre de notre dynamique "Libérons les blés, orges et seigles", élément à part entière de notre campagne "Lutins, Mutins, dans les Jardins", l'Association Kokopelli propose des lignées de seigle vivace qui, de par la générosité de leur croissance, constituent des plantes de bio-masse par excellence.

Nous n'avons, pour le moment, qu'une cinquantaine de lots à distribuer et nous souhaitons qu'ils soient accueillis par des passionnés qui en prennent grand soin et qui en reproduisent de la semence.

Avertissement: Papageno, qui a accueilli certains de ces seigles, que nous avons introduits il y a cinq ans de cela, informe tous ceux qui seraient intéressés que ces seigles peuvent atteindre 2 mètres de hauteur et se ressemer très gaillardement. A choyer donc, de préférence, dans des jardins dont la surface permettra ce genre de fantaisie végétale. A semer au printemps.

Nous avons également reçu une ancienne variété de blé du Guatemala, en quantité plus importante, et nous conseillons de le semer en blé de printemps. Prière d'envoyer vos requêtes à Cécile.

Séminaires et Convivialité

Nous souhaitons formellement préciser que l'Association Kokopelli ne tire aucun bénéfice de tout son programme de séminaires. Notre philosophie est de reverser l'argent aux animateurs des dits séminaires. Dans le cas précis de Tom Wagner, qui vit sur la côte ouest des USA, il faut être conscient que ce chercheur, au service de la nutrition et de l'agro-écologie, crée des variétés sans aucune subvention ou de l'Etat ou des multinationales.

Et pour le domaine public. Certaines de ses variétés se retrouvent, sans vergogne, dans les chaînes de supermarchés Français alors que Tom est obligé d'assumer un travail d'enseignant pour continuer à travailler bénévolement, depuis des dizaines d'années, au service des peuples. Nous sommes donc fort heureux:

- de faire connaître ses recherches et ses variétés à un public très large de jardiniers, de maraîchers et de paysans.

- de participer à sa prospérité et de contribuer à ce qu'il puisse continuer, pendant de longues années, à nous régaler avec ses variétés magnifiques et savoureuses.

http://www.kokopelli.asso.fr/

jeudi 19 février 2009

La Chlorella et l’élimination des métaux lourds

La Chlorella

et l'élimination des métaux lourds

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Dossier issu d'une conférence donnée le 31 octobre 2001 à Zurich par le Dr Klinghardt, directeur d'une clinique spécialisée dans le traitement de la douleur à Santa Fe, pionnier dans les traitements nutritionnels des effets dévastateurs des métaux lourds, ainsi que par le Dr Patricia Kane (USA), spécialiste de la nutrition et des maladies neurologiques graves, en particulier des enfants autistes. Ensemble, ces deux chercheurs livrent leur grande expérience et leurs résultats spectaculaires par la méthode de désintoxication avec l'aide de la Chlorella.

Extrait de l'article paru dans la revue "Soignez-vous!®" de septembre 2002 (numéro 26)

L'incontournable poison collectif

Les métaux lourds, tels que le mercure, sont maintenant cachés partout. Il faut révéler que des maladies telles que des infections virales, des mycoses, la tuberculose, le cancer, la sclérose en plaques, les maladies auto-immunes, les dérèglements de la glande thyroïde, certains maux de tête, certaines allergies, certains problèmes dermatologiques, pieds et mains froids (symptôme important), suées nocturnes, candidoses, herpès et mononucléose, sont dus à la présence de mercure. Particulièrement dans le cas des candidoses, le système immunitaire conduit le corps à produire des microchampignons ayant pour fonction de se lier au mercure. Le corps se débrouille mieux avec ces microchampignons qu'avec des dépôts intra ou extracellulaires.

Il existe deux sources principales de pollution au mercure :

1) les plombages

2) la mère

Le corps de la mère utilise le fœtus comme "poubelle" pour se débarrasser de ses propres métaux lourds. Des quantités importantes de mercure passent du corps de la mère au fœtus.

On trouve aussi beaucoup de mercure dans le lait maternel.

Cet empoisonnement du jeune enfant a pour conséquence une croissance diminuée, un plus petit cerveau, un système immunitaire et un poids corporel réduits.

La plus grande erreur de la médecine est de combattre les infections sans se soucier d'éliminer les métaux. Par ailleurs, l'accumulation de neuro-toxiques dans le corps provoque un effet de synergie destructive. On peut prendre l'analogie d'un chat dans un magasin de porcelaine : sa présence ne comporte que peu de danger. Il en est de même pour un chien. Mais s'ils sont mis ensemble dans ce magasin, cela peut entraîner un désastre. Récemment, dans une émission télévisée américaine de Scott Mayer, il a été dit que le sang de tous les sujets contient actuellement plus de 70 produits chimiques.

Voici une grande découverte :

Lorsque le mercure est évacué du corps, les autres toxines s'échappent d'elles-mêmes. Par contre, tant que le mercure est présent, les autres toxines doivent être éliminées une par une.

Stopper le cycle infernal

Les neuro-toxines soit chimiques, soit métalliques, sont filtrées en permanence par le foie et transportées dans l'intestin par la bile. Mais celui-ci les réabsorbe, créant un cycle sans fin, générateur de maladies chroniques. Si l'on peut rompre ce cycle par un capteur à neuro-toxines, on peut asister à une guérison rapide. Cela est possible avec une algue appelée la Chlorella.

Aujourd'hui, la meilleure méthode est de se désintoxiquer en permanence en consommant de la Chlorella (à chaque repas), car il est devenu impossible de se soustraire à la pollution générale.

En cas de maladie chronique sérieuse, les doses sont de 5 à 6 g, 4 fois par jour pendant 6 semaines. Au bout de ces 6 semaines, la quantité de substances neuro-toxiques circulantes est réduite de 90%. On observe des améliorations dans un temps plus court lorsque les doses sont plus importantes.

Nota : Si l'on possède des amalgames dentaires conventionnels, il convient de les faire enlever au plus tôt, mais progressivement, chez un dentiste équipé et conscient des dangers du mercure.

A savoir que 50% du mercure est absorbé par le cerveau.

Ceux et celles qui ne veulent pas prendre en compte le fait que la plupart des aliments actuels sont des vecteurs neuro-toxiques cumulatifs, devront choisir entre la sclérose en plaques, le cancer du sein et autres. Les végétariens n'échappent pas au système.

Un nettoyage permanent est donc devenu indispensable pour garder la santé.

De même, qu'il se produit une synergie entre les méthodes efficaces de traitement. Aussi, l'efficacité de la Chlorella est très améliorée par l'adjonction d'ail des ours, et encore améliorée avec la coriandre.

Le mercure sort alors par la peau, la respiration, les selles et les urines.

L'importance des acides gras.

Il est possible de réparer le système nerveux par une simple consommation d'acides gras.

Actuellement, les maladies neurologiques sont statistiquement en grande augmentation. Les neuro-toxines sont les principales responsables de la sclérose en plaques, du Parkinson et de toutes les altérations de la fonction cérébrale.

Nous savons maintenant que l'autisme est lié aux bactéries intestinales résultant des lésions du système immunitaire provoquées par les vaccins et les métaux lourds.

Le traitement de l'autisme consiste simplement à sortir les métaux lourds et rajouter des acides gras. C'est une illusion de croire que l'on peut drainer des vaccins uniquement avec l'homéopathie – car les dommages des vaccins atteignent les enzymes et les acides gras du corps. Il faut donc agir sur les métabolismes et réparer les enzymes un par un.

Pour cela, on doit sortir le cuivre, le plomb, le mercure et les métaux lourds de l'organisme. Là seulement, les enzymes affaiblis peuvent réassimiler les graisses indispensables au système nerveux.

Dans les maladies infantiles en général, la recette est la suivante :

6 g de Chlorella 4 fois par jour. C'est une dose forte qui représente 24 comprimés 4 fois par jour.

Cela supprime les neuro-toxines circulantes. La flore intestinale se renormalise et tous les germes anaérobies disparaissent de l'intestin.

On peut soigner l'autisme, l'épilepsie, les retards d'apprentissage chez les petits enfants avec une thérapie simple :

6 g de Chlorella 4 fois par jour + ail des ours 5 gouttes de teinture mère.

Les réactions au traitement de désintoxication

Avant, on traitait la syphilis avec du mercure. En enlevant le mercure, certaines bactéries se redéveloppent. C'est pour cela que pendant la désintoxication, des infections apparaissent. C'est un problème qui a fait reculer beaucoup de patients. Il y a une phase où toutes les maladies chroniques ressortent. Il n'y pas de désintoxication des métaux lourds sans apparition d'infections. La maladie dont on est atteint semble s'aggraver. On a des courbbatures, des maux de tête,…et on sait à ce moment qu'on évacue vraiment les métaux lourds.

L'étape suivante, c'est le traitement des infections. Il n'y a plus de difficultés car, en l'absence de métaux toxiques, les maladies répondent très facilement aux thérapies classiques, alors qu'en leur présence, les traitements ne marchent pas.

L'intoxication au plomb

En 1997, une étude a été faite sur les squelettes humains morts depuis 400 ou 500 ans et aussi sur d'autres morts depuis 10 ans. Il apparaît que le taux de plomb dans nos os est actuellement 500 à 1000 fois plus élevé qu'il y a 500 ans. Ceci explique tous les problèmes de développement neurologique des enfants, les flambées de leucémie, de lymphome, d'anémie et de désordre du sang.

À partir de ces données, le Dr Kane a pu traiter des patients atteints de lymphome avec uniquement des injections de DMPS pour chélater le plomb.

Le DMPS est un chélateur crée en URSS pour soigner les mineurs intoxiqués par les métaux lourds. Lors de la catastrophe de Tchernobyl, les patients reçurent du DMPS à raison de deux injections hebdomadaires. Les personnes ainsi traitées ont eu la chance d'éviter une dégénérescence de la moelle épinière. Le DMPS a en effet la propriété d'évacuer rapidement plusieurs sortes de métaux.

Ce produit appelé EDTA en Allemagne, est réservé au corps médical.

Si quelqu'un sait comment s'en procurer qu'il me contacte:

Green.medecine@gmail.com

Depuis, pour éviter le plomb dans l'essence, on l'a remplacé par de nouveaux produits qui sont carrément cancérigènes. Ainsi, on a pu voir aux USA la courbe des cancers augmenter suite à la suppression du plomb dans l'essence.

The world is crazy !! un monde de cauchemar !! a nightmare's world

La fragilité de l'organe Cerveau

Les Dr. Klinghardt et Kane ont travaillé sur de multiples patients atteints de SEP, de Parkinson, d'épilepsie, d'Alzheimer… avec des résultats considérables.

La suite de l'article ici:

http://greenseeker.wordpress.com/2009/02/14/la-chlorella-et-lelimination-des-metaux-lourds/

lundi 9 février 2009

Kokopelli: Nouvelles de Février 2009 - Séminaire de Tom Wagner

Nouvelles de Février 2009 - Séminaire de Tom Wagner
les 22/23 Septembre 2009
Nous proposons un premier séminaire de 2 jours, animé par Tom Wagner, sur les thèmes de la création variétale de tomates et de pommes de terre, sur leur sélection (en fonction de divers critères de saveur, de couleur, etc) sur leurs "résistances" (maladies, sécheresse, etc).
Ce séminaire aura lieu les 22/23 septembre 2009 au Jardin Conservatoire National de la Tomate du Prince-Jardinier Louis-Albert de Broglie, au Château de la Bourdaisière, à Montlouis, près de Tours.
Le coût de ce séminaire est de 80 euros (sans les repas et l'hébergment).
Les réservations, avec paiement d'arrhes, peuvent s'effectuer en ligne sur le site de Kokopelli. Tom Wagner sera en Europe pour quatre semaines et nous sommes en train d'organiser d'autres séminaires ou conférences en France et en Europe. Le calendrier de ces manifestations sera présenté sur notre site au fil de son élaboration.
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La rage au coeur, l'amour à l'âme
Un billet d'humeur de Dominique Guillet, présenté sur le site de Liberterre, qui objecte en conscience à la profération incessante, par tous ceux qui se prétendent en contrôle des pays occidentaux ou en voie d'occidentalisation, du trinôme fatal "Nouvel Ordre Mondial".En vue d'une publication prochaine, nous accueillerons avec plaisir toute information intéressante, et non disponible sur le net, concernant l'abomination que constitue le Codex Alimentarius.

Un billet d'humeur de Dominique Guillet, présenté sur le site de Liberterre, qui objecte en conscience à la profération incessante, par tous ceux qui se prétendent en contrôle des pays occidentaux ou en voie d'occidentalisation, du trinôme fatal "Nouvel Ordre Mondial".

En vue d'une publication prochaine, nous accueillerons avec plaisir toute information intéressante, et non disponible sur le net, concernant l'abomination que constitue le Codex Alimentarius.

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Feuilles, gènes et gaz à effet de serre

Dominique Guillet présente sa traduction d'un texte de David Beerling extrait du second chapître de son ouvrage "The Emerald Planet".

Dans ce chapitre, l'auteur explique que les arbres et plantes durent patienter 40 millions d'années avant de pouvoir faire croître des feuilles, en raison du taux excessivement élevé de dioxyde de carbone dans l'atmosphère (de l'ordre de 15 fois plus de dioxyde de carbone atmosphérique que ce qui prévaut aujourd'hui).

Il est très difficile pour l'imagination humaine de visualiser un monde végétal constitué de tiges strictement dépourvues de feuilles, un état de fait qui aurait perduré durant des dizaines de millions d'années.

L'auteur évoque également la diminution du nombre de pores des feuilles au fil de la montée du dioxyde de carbone depuis le début de la révolution industrielle.

Ce texte intéressant met en exergue la relation intime entre le climat et le monde végétal. Il laisse cependant entier le débat qui rage actuellement: peut-on réellement parler de "réchauffement climatique" ou ne doit-on évoquer qu'un "bouleversement climatique" à l'échelle planétaire et à l'échelle de nos vies humaines?
Il est vrai qu'on ne peut qu'être vigilant vis à vis du spectre du réchauffement climatique brandi par ceux-là même qui préconisent un Nouvel Ordre Mondial, une version légèrement altérée de l'Ancien Ordre Mondial, celui des cartels de la finance, de la pharmacie, de l'agro-chimie, de l'agro-alimentaire...
Ceux-là même qui refusent, d'ailleurs, face à la montée du dioxyde de carbone, de recycler l'agriculture à la bio, de stopper toute déforestation, de limiter considérablement la consommation en viande, tous facteurs qui, outre le fait qu'ils réduiraient drastiquement le taux de CO2 dans l'atmosphère, contribueraient à stopper la désertification et les processus d'érosion sur cette belle planète.
En effet, ce qui arrive en ce moment en Australie est sans doute moins la conséquence d'un bouleversement climatique (ce pays a souffert de cycles récurrents de sécheresses impitoyables, et répertoriés depuis 1829) que celle d'un siècle et demi d’agriculture et d’élevage intensifs.
L’Australie est sans doute le premier pays dit “occidental” à être intégralement ruiné par les processus de salinisation et de désertification: certaines terres Australiennes ont des concentrations de sel trois fois supérieures à celles de l’océan.
Et pour ceux qui seraient intéressés par les racines profondes de l'Ancien Ordre Mondial, nous conseillons la lecture de deux textes fondamentaux de Paul Shepard, l'un des pionniers US de l'écologie:
La meilleure façon de lutter contre les multinationales, c'est de s'en passer, par le jardinage familial, les pratiques agro-écologiques et l'autonomisation semencière.
Adhésions
Ce sont trois dynamiques d’adhésion que nous proposons pour l’année 2009 : soutien à 20 euros, actif à 60 euros et bienfaiteur à 150 euros. Une partie de l’argent des adhésions est consacrée au développement de nos dynamiques dans le Tiers-Monde: production de semences données aux paysans et paysannes, organisation de formations à la production de semences, création de banques de semences, soutien à la création de réseaux paysans semenciers.
L'Association Kokopelli fut créée en 1999.
Elle comptait:
- en 2004: 1260 adhérents- en 2005: 2729 adhérents- en 2006: 4289 adhérents
En Septembre 2007, ce sont 4390 adhérents qui sont à jour de leurs cotisations.
- 6059 adhérents au 31 octobre 2008
Chaque année ce sont entre 300 et 400 personnes qui nous envoient des semences produites dans leur jardin familial à destination de la solidarité internationale.Un grand merci pour votre soutien.

Une grande jardinière avec des bulbes et des minimottes

Une grande jardinière avec des bulbes et des minimottes
Garnir une grande jardinière au printemps, ce n'est pas toujours évident et cela revient cher! Pourquoi ne pas préparer le printemps à l'automne, en composant avec des minimottes et quelques bulbes une charmante composition, à moindre coût et de beaucoup d'effet dans quelques mois ?
Pourquoi les minimottes ?
Au printemps, c'est traditionnellement avec des godets que l'on compose les jardinières. On peut bien sûr arriver à de très jolis résultats, mais...
le coût est élevé si les jardinières (ou les massifs) sont grands, la taille importante des mottes impose souvent de les serrer entre elles pour obtenir un effet satisfaisant, avec comme contrepartie un développement racinaire parfois insatisfaisant, l'arrosage doit être très soutenu si le temps est clément.
Jeunes plants prêts-à-planter
Ces petites mottes sont de jeunes plants prêts-à-planter; un format issu du monde professionnel. Disponibles en plusieurs tailles (selon l'avancement dans la saison), elles peuvent être mises en terre directement.
Livrées en barquettes, plus elles sont petites, plus elles sont nombreuses par barquette et plus c'est économique! Un plateau de 35 coûte aux alentours de 10€. De quoi garnir un jardinière de belle taille.
Notre composition
Mélanger bulbes et bisannuelles produit de très bons résultats. Les bisannuelles forment un joli tapis coloré, pendant que les bulbes donnent un peu de hauteur et d'ampleur (par la taille de leurs fleurs).
Il n'y a pas de compétition au niveau des racines, et en plantant en 2 étapes il n'y a aucun problème de réalisation.
Pour cette jardinière, nous allons composer avec :
de délicieuses violas d'un ton rose marqué. Très florifères, les violas sont ces charmantes "petites pensées" , des myosotis d'un bleu éclatant, des jolies tulipes pas trop hautes et d'un rose tendre, pour contraster agréablement avec leurs voisins.
Mise en oeuvre
La jardinière (pour nous une demi barrique coupée dans le sens de la hauteur !) est garnie d'un bon terreau.
Ce sont d'abord les bulbes de tulipes qui sont disposés (pas trop régulièrement !). La profondeur de plantation des bulbes sera égale approximativement à deux fois leur hauteur. Le trou est gardé ouvert jusqu'à la finition des travaux, pour ne pas placer par mégarde un jeune plant juste au-dessus d'un bulbe !
On se préoccupe ensuite des barquettes de minimottes, qui avaient préalablement été mises à tremper dans une bassine remplie d'eau, afin d'humidifier les mottes.
Compte tenu de leur petit format, ces plants sont assez fragiles et donc à manipuler avec précaution. Pour les extraire de la barquette en polystyrène, employez le bout de vos doigts ou un petit morceau de bois pas trop pointu.
Disposez vos petites mottes sur toute la surface de la jardinière, en panachant violas et myosotis. Utilisez le plantoir à bulbes pour pratiquer vos petits trous, en veillant à ce que ces derniers ne soient pas trop profonds et étroits, ce qui conduirait à laisser un vide d'air sous les mottes : très préjudiciable.
Pour finir
Comme à l'accoutumée, un bon arrosage est nécessaire pour tasser la terre sur les bulbes et autour des plants.
Un peu d'engrais peut être utile pour soutenir la floraison des bisanuelles. Les cônes d'engrais à libération lente sont bien adaptés à cet emploi. Comptez 6 à 10 cônes pour une jardinière de bonne surface.
Ensuite... laissez faire la nature. L'automne et l'hiver vont avancer, et dès le tout début d'année, les violas vous récompenseront par une floraison chatoyante des plus précoce. Les myosotis complèteront le tableau un peu plus tard (vers mars-avril), suivi logiquement par l'explosion des tulipes. Peu d'efforts pour un tableau fleuri sur plusieurs mois!

Le jardinage en pots: la grande tendance jardinage de l'heure

Le jardinage en pots:
la grande tendance jardinage de l'heure
Le jardinage constitue l'un des loisirs d'extérieur dont la popularité grandit le plus rapidement.
Pour ceux qui aiment jardiner mais qui ne possèdent pas une cour assez grande, le jardinage en bacs est la solution idéale.
Afin de vous aider à débuter dans votre projet, l'équipe de jardinage du Canadian Tire vous propose ces idées originales:
Les bulbes apportent une touche spectaculaire qui peut transformer un petit espace, tel qu'un patio ou un balcon, en un jardin exotique.
Choisissez des bulbes faciles à cultiver tels que l'hémérocalle, le bégonia, le dahlia, la hosta et l'astilbe.
Plantez des fines herbes pour un approvisionnement constant en fines herbes fraîches. Le basilic, la ciboulette, le persil, la marjolaine et le thym sont tous faciles à cultiver dans des bacs et apportent la touche finale à n'importe quel met.
Un jardin en bac est un petit oasis de verdure. Il faut d'abord une bonne terre qui conserve l'humidité et favorise la circulation de l'air, en plus de l'application d'un engrais aux deux semaines. Faites un tour au centre de jardinage le plus près de chez vous pour trouver la terre et l'engrais appropriés.
Pour les patios ou pour les vérandas de cottage, essayez de cultiver un bac de légumes . Les petits légumes tels que les tomates et les poivrons pousseront dans des pots d'aussi peu que 5 pouces de profondeur.
Essayer de trouver des pots décoratifs et attrayants pour y mettre vos plantes. Ils mettront aussitôt de la couleur dans votre environnement, apportant une belle touche à votre cour, tandis que vous patienterez pour que pousse votre jardin. Divers styles, couleurs, grandeurs et finis vous aideront à créer un magnifique espace à l'extérieur.
Achetez deux ou trois bacs supplémentaires pour les enfants , qui s'en serviront pour réaliser leur premier jardin.
Pour les mariages, les fêtes d'anniversaire ou pour d'autres événements spéciaux, créer des bacs spéciaux que vous utiliserez comme centres de table ou que vous offrirez en cadeau à vos invités. L'arrosage
Le premier défi de la culture en pot est l'arrosage : trop d'eau (dans le cas d'un drainage inadéquat), et vos végétaux se noieront; pas assez d'eau (dans le cas d'un oubli d'un jour ou deux), et certaines de vos plantes sécheront.
Trouvez la juste mesure en vous assurant que tous les bacs que vous utilisez ont un trou de drainage et une couche de deux pouces de matériel poreux comme de la roche dans le fond du pot. Souvenez-vous par ailleurs que, puisque vous ne plantez pas dans le sol, l'humidité s'évapore rapidement. Dites-vous qu'il vous faudra arroser les plantes en pot tous les jours durant l'été.
Donnez à vos végétaux en pot une boisson riche en nutriments faite à partir de compost de thé : mettez une pelle pleine de compost dans un sceau, remplissez-le d'eau et laissez reposer pour un jour ou deux. Servez-vous ensuite de ce thé pour arroser vos plantes.
Les toits
Si vous avez accès à un toit plat, vous pourriez penser à y cultiver un jardin en pots. Ce qu'il faut éviter.
Ne prenez pas de pots en bois traité pour faire pousser des légumes. De plus, n'utilisez pas de contenants dans lesquels ont été versés des produits chimiques.