lundi 30 juillet 2007

Je l'ai mangé en salade, un régal !!
177 g c'est pas mal pour un pot de 25x25

samedi 28 juillet 2007

2eme récolte 2007 - Tomates cerises

Riz Thaï , basilic du balcon, tomates du balcon maïs , huile d'olive, sel

L'aventure des tomates en pots

Un enchantement pour les yeux et la saveur unique d'une tomate dont on connais toutes les étapes avant d'arriver dans l'assiette.

L'aventure des tomates en pots

Poids de cette première tomate :132 grammes Variété : (inscrite comme coeur de boeuf, mais je pense que c'est une chair de boeuf ( à vérifier) Dimension du pot : 25cm de diamètre, 25cm de profondeur (trop petit!!) Tomates sur le pied :12 Tomates perdues:8

jeudi 26 juillet 2007

La spiruline

Première approche de la spiruline Le problème de malnutrition doit être résolu de manière locale. Une solution efficace en Indonésie ne l’est pas forcément en Afrique. Les ressources solaires des pays africains peuvent être mises à profit pour cultiver des végétaux possédant des propriétés nutritives adaptées. Ainsi à partir de l’énergie solaire et du CO2 présents dans l’atmosphère, on peut espérer créer une agriculture nouvelle apportant les compléments alimentaires utiles pour vaincre la malnutrition dans les pays africains notamment l’Ethiopie. La spiruline semble répondre à ces contraintes notamment quant aux exigences nutritionnelles. On va essayer de décrire cette algue notamment en citant de nombreux chiffres qui permettront de corroborer les résultats probants du faible nombre de tests effectués. Historique : Les chercheurs ont trouvé des descriptions d’une algue bleue utilisée dans l’alimentation de base de la civilisation aztèque. Plus récemment, en 1940 on publie pour la première fois la consommation de galette appelée « dihé » au Tchad par l’ethnie Kanembous. Ce peuple utilise toujours la spiruline comme complément alimentaire. De plus ils commercialisent ces galettes, ce qui permet de penser que la culture de spiruline peut être une économie rentable au-delà même de la dimension sanitaire. Les milieux où on trouve de la spiruline à l’état naturel sont des étendues d’eaux généralement ensoleillées et relativement chaude (approximativement 30-35°C). Bien sûr, on ne doit pas en déduire que la culture de spiruline est facile, mais il faut reconnaître qu’avec un peu de technique on arrive sans problème à avoir une récolte satisfaisante. Description : La spiruline est une algue bleue (mais que l’on voit verte) qui se présente sous la forme de brins, parfois en hélice. La spiruline est tout d’abord caractérisée par ses formidables qualités nutritionnelles : des teneurs élevées en protéines végétales, acides gras polyinsaturés, bêta-carotène, vitamines, zéaxanthine et phycocyanine .La ration qu’on recommande en cas de malnutrition étant de 10g, ce tableau essaiera de montrer les apports de cette ration en fonction des AJR : Ceci n’est pas un tableau exhaustif mais il couvre une large gamme de composés essentiels à notre équilibre nutritionnel. Il faut aussi noter que les protéines contenues dans la spiruline sont très facilement assimilées. Ceci vient du fait que la membrane cellulaire de la spiruline ne contient pas de cellulose qui retarde son assimilation dans l’organisme. Cette algue est donc un fournisseur de protéines « d’urgence » et est donc particulièrement adaptée aux personnes atteintes de malnutrition. La plupart des pays du monde ont reconnu la spiruline comme étant utilisable comme complément alimentaire. En particulier, la France et les Etats-Unis ont donné à la spiruline ce statut. Composition : Les protéines représentent plus de 60% de la masse de la spiruline sèche. A cela viennent s’ajouter de nombreux métaux comme le fer, le cuivre ou le manganèse. Enfin des acides gras essentiels comme la linoléique et les vitamines complètent la composition de la spiruline. Effets : On pourrait penser que tous les effets bénéfiques de la spiruline sont la conséquence directe d’une alimentation plus saine, rééquilibrée par ce complément nutritionnel exceptionnel. Cependant les tests menés sur la spiruline prouvent cependant que certaines maladies sont très efficacement traitées par cette algue. On doit ici mettre un bémol quant aux tests effectués, en particulier quand il s’agit de la malnutrition. Peu de tests sérieux ont été réalisés. Ceci pour des raisons de désintéressement des grandes firmes en premier lieu. De plus, les tests nécessitent une population témoin qui, alors, ne serait pas soignée ce qui pose un certain problème éthique. On va néanmoins essayer de baser cet exposé des propriétés curatives sur les maigres tests existants. Voici donc quelques maladies dont la virulence est diminuée par la prise de spiruline : Cancer : Depuis une dizaine d’années les chercheurs ont montré l’efficacité de la spiruline dans le traitement de l’après chimiothérapie et de l’après radiation. En effet, elle protège les organes et le sang contre les dégâts dus à l’exposition à l’ozone et aux radicaux. Des tests effectués dans les années 80 sur des hamsters atteints de cancer de la bouche ont montré que la spiruline semble provoquer une régression des tumeurs. En 1995, d’autres tests viennent corroborer cette découverte : sur 87 personnes atteintes de leucoplasie, 45% des cas traités par la spiruline voyaient une régression complète des lésions contre 7 % pour ceux du groupe placebo. Ces résultats seraient attribuables à la richesse de la spiruline en bêta-carotène, un précurseur de la vitamine A, laquelle semble être l'ingrédient auquel on peut attribuer la régression des lésions. Enfin en 1998 une équipe japonaise découvrait qu'un polysaccharide soufré présent dans la spiruline pouvait inhiber, in vitro, les métastases d'un certain type de cancer du poumon. L’hypercholestérolémie : Des comparatifs entre l’impact de l’ingestion de spiruline sur des lapins soumis à des régimes à haute teneur en cholestérol ont montré que l’ajout de 0.5g de spiruline par jour à leurs menus entraîne un différentiel du taux de cholestérol d’ordre 2. SIDA : Il faut d’abord mettre fin à une rumeur annonçant que la spiruline guérit le SIDA. Cette théorie est complètement infondée. Cependant, des observations sur des patients atteints du SIDA ont montré que la spiruline permettait d’augmenter le nombre de CD4 dans l’organisme. Du coup les maladies opportunistes sont moins fréquentes ce qui améliore énormément la vie des personnes atteintes du SIDA. Mais il ne faut pas penser que la spiruline peut guérir le malade, elle peut seulement ralentir la progression du virus. Malnutrition : C’est sans doute dans ce domaine que les résultats sont les plus probants. Cependant peu d’études scientifiques sérieuses ont été menées et ce pour une raison simple, la spiruline n’intéresse pas les grands groupes pharmaceutiques ni les organisations gouvernementales. Cela est notamment dû au manque de publicité autour de la cette algue. Cependant, les résultats sur le terrain sont incontestables. Au Burkina Faso, ainsi que dans de nombreux pays africains et asiatiques, la spiruline donne des résultats considérables. On prendra l’exemple du test effectué par l’association humanitaire Nutrition Santé Bangui. Ils ont observé 592 enfants recevant un mélange sardine-spiruline en plus des repas traditionnels et 182 enfants ne recevant que de la sardine en complément nutritionnel. L’étude a porté sur une centaine de jours et la dose de spiruline était de 5g/jour. Les résultats montrent que la spiruline est efficace même pour des cas de malnutrition sévère et qu’il y a une amélioration significativement supérieure pour les enfants ayant reçu de la spiruline, tant en ce qui concerne le gain de poids moyen que la vitesse de récupération des enfants. Bilan : La spiruline est une plante aux multiples vertus. Elle permet une prise de poids plus rapide que tous les autres produits traditionnels. De plus, elle a un effet sur l’appétit, qui est un vrai problème pour les formes sévères de malnutrition. On peut de plus citer ces nombreux effets curatifs. Bien sûr, la spiruline n’est pas aussi efficace que la trithérapie mais elle a un impact non négligeable sur la santé des personnes atteintes du SIDA en diminuant le risque d’avoir une maladie opportuniste. Aujourd’hui on espère que de grandes études seront lancées pour crédibiliser durablement la spiruline. Cependant on ne peut nier qu’il existe des risques à cultiver la spiruline. En effet comme toute algue, elle est très exposée à la pollution de son milieu de culture. Ainsi de multiples précautions doivent être prises lors de l’édification du bassin. Source : Ecole supérieur des Mines de Saint-Etienne

Arrosage

Basilic à grande feuille en jardinière avec un pimentier et le fraisier hybride (cf ancien post)
J'arrose tous les jours les tomates quand il fait plus de 18 degrés. Deux fois par jour quand il fait plus de 28 degrés, en effet n'oublions pas que l'on jardine dans des pots. Le pimentier, je peux le laisser plusieurs jour sans arroser, si la t° n'est pas au dessus de 25°, les poivrons c'est tous les jours, ainsi que les aubergines. Les pots de terres absorbent plus vite l'humidité que les pots en plastiques. En fonction de vôtre orientation au soleil, essayer de trouver le bon équilibre.

La FAO constate dans un rapport que l'agriculture bio est capable de nourrir la planète

Le bio? Vous n'y pensez pas sérieusement mon pauvre monsieur… le bio, c'est bon pour les bobos! Comment peut-on envisager de nourrir la planète avec une faible productivité? Cette vision, tenace, avec un brin de mépris pour les nantis de gauche, vient d'être battue en brèche par la FAO, l'organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture. Cette noble institution est sans doute la seule à avoir gardé sa raison face à la grippe aviaire, en refusant le "tout vaccin" contre les menaces de pandémie et en préconisant d'améliorer l'hygiène des élevages (avec un budget bien plus réduit) pour tuer le virus dans l'œuf. La FAO constate dans un rapport que l'agriculture bio n'est plus cantonnée aux pays riches, et qu''elle est capable de nourrir la planète. Partout dans le monde, le nombre de reconversions va bon train: l'agriculture bio est présente dans 120 pays, elle recouvre 31 millions d'hectares, pour un marché de plus de 40 milliards de dollars. Et notre propre agriculture bio est en quelque sorte l'héritière de l'agriculture traditionnelle des paysans d'autrefois, nos grands-parents, qui avaient compris qu'on devait préserver la ressource, ne pas maltraiter les animaux. Pour se passer de pesticides qui causent d'innombrables décès dans le Tiers Monde, souvent par mauvaise utilisation, la FAO avait déjà préconisé il y a quelques années la lutte biologique pour se débarrasser des insectes ravageurs. Cette pratique consiste à utiliser des insectes utiles contre les insectes nuisibles. Chez nous, les braves coccinelles exterminent proprement les pucerons… Aujourd'hui, la FAO saute le pas et encourage les pays du monde entier à développer le bio. Les avantages qu'elle met en avant sont connus au niveau agronomique: entretien des sols (qui s'appauvrissent, victimes de l'agriculture intensive, avec la perspective de la stérilisation des sols), recours à des produits naturels contre des produits chimiques, moindre pollution, meilleur gout… Mais l'étude produite le 3 mai à Rome reconnait encore en faveur du bio une meilleure efficience par rapport aux coûts, une résistance accrue des écosystèmes face au stress climatique, une réduction de l'utilisation des carburants fossiles… Le bio est à même de maintenir les structures rurales, d'empêcher le gonflement des bidonvilles urbains, car il nécessite plus de bras. D'un point de vue holistique, le bio est préférable. La FAO atteste ainsi sur son site: "L'agriculture biologique est un mode de gestion globale de la production qui exclut l'utilisation d'engrais et de pesticides de synthèse et d'organismes génétiquement modifiés, réduit au maximum la pollution de l'air, du sol et de l'eau, et optimise la santé et la productivité des communautés interdépendantes de végétaux, d'animaux, et d'êtres humains." Que rajouter ? Que l'agriculture intensive vit aujourd'hui sur les bas prix du pétrole, que demain, les bras seront plus économiques que les machines… L'avenir de l'agriculture est dans le bio, ne saccageons pas la planète. A nous de le défendre contre l'épandage de poisons, la perte de sens de l'agriculture industrielle, et contre la position du Conseil européen du 12 juin 2007, qui vient d'imposer aux consommateurs de l'UE l'acceptation d'une contamination des produits bio à hauteur de 0.9% (comme les produits non-bio), pour rendre impossible toute revendication d'absence d'OGM, et ne pas gêner l'industrie des biotechnologies.

mercredi 25 juillet 2007

L'or..tie

l'Ortie
Les orties (latin Urtica) sont un genre de la famille des Urticacées qui regroupe une trentaine d'espèces de plantes herbacées à feuilles velues. On en trouve 7 en Europe dont 4 en France. Les poils contiennent de l'acide formique, de l'histamine, de l'acétylcholine et de la sérotonine qui irritent la peau à son contact. Ces poils ont à leur extrémité une pointe de silice qui permet de pénétrer la peau des animaux qui s'en approchent trop. Les espèces les plus communes sont la grande ortie (Urtica dioica, 50 cm à 1 mètre) et l' ortie brulante (Urtica urens, moins de 50 cm). Urtica pilulifera ( ortie à pilules, ortie romaine) se rencontre dans le midi et l'ouest de la France et Urtica atrovirens uniquement en Corse. D'autres espèces de plantes ont aussi reçu le nom vernaculaire d' « ortie » à cause de leur vague ressemblance avec les orties. On connait ainsi des orties blanches, jaunes, rouges qui appartiennent au genre Lamium (lamier) de la famille des Lamiacées. Ces plantes se distinguent des vraies orties à leur tige à section carrée et à leurs fleurs colorées zygomorphes.
utilisation Médicinale
Parties utilisées La partie aérienne et la racine Propriétés Astringente, Reminéralisante, Dépurative, Diurétique, Hémostatique, Résolutif Les parties aériennes apportent des vitamines (B2, B5, acide folique...), des minéraux (fern silice, magnésium), des oligo-éléments (cuivre, zinc...), des acides aminés essentiels et des protéines. La présence concomitante de vitamines B2, B5, d'acide folique, de silice et de zinc permet à l'ortie d'être très utile pour traiter les ongles cassants et la chute des cheveux tout en favorisant la repousse. Elle est aussi bénéfique dans le traitement de l'acné grâce à l'effet anti-inflammatoire du zinc. De plus, par son effet reminéralisant, l'ortie agit favorablement sur le cartilages usés de personnes souffrant d'arthrose ou de rhumatismes. La feuille d'ortie est un bon anti-asthénique : elle aide à lutter contre la fatigue, régularise le sommeil qui devient plus réparateur, améliore l'attention intellectuelle et agit favorablement sur l'anxiété et la déprime. La racine d'ortie a bénéficié ces dernières années de nombreuses études qui ont permis de mettre en évidence son action favorable sur l'adénome de la prostate; syndrome fréquent chez l'homme après 50 ans qui le vit souvent très mal. L'action bénéfique de la racine d'ortie est due à la présence de stérols qui vont limiter l'hypertrophie de la prostate et par la même améliorer toutes les manifestations gênantes de cette hypertrophie. Modes d'utilisation gélule, infusion, décoction, lotion Partie aérienne d'ortie : 2 gélules de poudre totale cryobroyée matin et soir à prendre avec un grand verre d'eau au moment des repas. Racine d'ortie : 2 gélules de poudre totale cryobroyée matin et soir à prendre avec un grand verre d'eau. En lotion pour les frictions du cuir chevelu et contre la chute des cheveux. Contre la chute de cheveux : Préparation : Broyez ou passez au mixer 200 g de feuilles fraîches, puis diluez le suc obtenu dans son volume d'eau de source. Utilisez cette préparation en frictions sur le cuir chevelu, 1 jour sur 2. En infusion ou décoction contre les maladies de peau, la jaunisse, les règles abondantes, l'urticaire, les hémorragies, l'anémie.

Purin d'ortie

Pesticides Non Merci 3 sur 3

Pesticides Non Merci 3 sur 3

Pesticides Non Merci 2 sur 3

Pesticides Non Merci 2 sur 3

Pesticides Non Merci 1 sur 3

Où l'on apprend que consommer bio est un acte révolutionnaire

dimanche 22 juillet 2007

La musique mes plantes et moi

Après toutes ces lectures et documentaires sur la relation musique et plante. J'ai décidé d'enregistrer la Protodie du doc ci dessous et de le découper via un logiciel audio, puis de l'amplifier. J'ai utilisé cette protéodie afin de stimuler l'auxine , l'hormone de croissance des plantes. Sur la photo, c'est un plant d'aubergine "Slim Jim" que vous avez certianement vu dans les messages blog précédents.
Conclusion : J'ai opté pour le Jazz (parce que j'aime bien),
le temps de tester sur mes futur-semis les differents sons musical ou son de la nature à ma disposition qui favoriserait les racines, les fruits, la robustesse, la lutte contre les parasites etc...
Les rapports direct voix du jardnier avec sa (ses) plantes est d'une grande importance selon moi.

Expérience en Plein Air au Sénégal

Stimulation de la Résistance à la Sécheresse pour des Cultures de Tomates : une Expérience en Plein Air au Sénégal

  Mansour et Ousmane Gueye, Fitory Diagne, Jacques-Joël Houziel, Pedro Ferrandiz et Joël Sternheimer

  Résumé: Une expérience a été conduite de juillet à octobre 1996 dans la région sud de Dakar (Sénégal), déstinée à observer et évaluer l'effet, sur plusieurs centaines de plants de tomates cultivés en plein air, de la stimulation épigénétique par résonance d'échelle de la protéine TAS14 anti-sécheresse, étudiée précédemment. Pour une diffusion musicale de 3 minutes par jour, le rendement spécifique des cultures a été multiplié par 20. 1. Plusieurs expériences antérieures (1, 2, 7) ont

confirmé l'intérêt, attendu (3) de par de ses homologies musicales, de la stimulation épigénétique de la protéine TAS14 (4) de résistance à la sécheresse chez la tomate. L'homologie de son thème musical avec diverses protéines heat shock et son anti-homologie avec le thème de l'ACTH humaie (asséchante) conduisaient de plus à prévoir sa bonne tolérance par temps chaud chez l'homme en cas d'écoute accidentelle, hormis les contre-indications prévisibles d'oedème ou d'insuffisance rénale.

Une expérimentation préalable en Afrique par un volontaire humain -- qui a lui-même spontanément diminué par un facteur 2 sa ration d'eau quotidienne pendant une semaine en l'écoutant une fois par jour (5) -- nous a ainsi conduit à répondre favorablement à l'offre de la société Recofi de l'expérimenter sur place, dans la région de Dakar, sur des cultures de tomates (6-8). 2. Du 18 au 21 juillet 1996, plusieurs centaines de plants de tomates ont été repiqués dans un jardin situé dans une

région sèche à cent kilomètres au sud de Dakar. Celui-ci a été alors divisé en deux parcelles égales et jointives, dénommées ci-après jardin témoin (JT) et jardin musical (JM). Une fois par jour, les plants du jardin musical étaient soumis pendant 3 minutes à la diffusion de la séquence musicale de la protéine TAS14 à l'aide d'un radio-cassette ordinaire du commerce. Après avoir enclenché la cassette,

les opérateurs s'éloignaient puis revenaient à la fin de sa diffusion. Cette opération était renouvelée à deux reprises en déplaçant à chaque fois de trois mètres le radio-cassette, afin de couvrir la totalité du JM. En raison de l'effet attendu au vu des expériences précédentes, le JT était arrosé deux fois par jour (pour éviter la dessication de ses plants), et le JM une seule fois, complétée donc par la diffusion musicale. L'ensoleillement était identique sur la quasi-totalité des deux parcelles hormis un lot de


quelques plants situés à l'ombre; la (faible) pluviométrie et la température (élevée) étaient bien sûr identiques. 3. Le 29 juillet, après 11 jours de diffusion, l'accélération de la croissance des plants du JM par rapport au JT était déjà très apparente. Des piquets ont été alors dressés pour servir de support aux plantes. Cette différence s'est accentuée encore les jours suivants. Le 20 août, les plantes musicales, arrosées pourtant une seule fois par jour apparaissent bien plus longues et plus touffues que les plantes sans musique arrosées deux fois par jour. Le 16 septembre, le rendement en fruits du

JM apparaît nettement significatif, 10 à 20 fois supérieur suivant les endroits à celui du JT, normalement faible en l'absence d'engrais. Les tomates musicales pour la majeure partie craquent avant de mûrir au niveau du calice, apparemment par effet "saucisse de Francfort" du soleil cuisant sur des tomates gorgées d'eau. Cet effet était confirmé lors d'un relevé plus systématique effectué le 8 octobre par 3 d'entre nous (O.G., F.D. et J.J.H) (8), paraissant ainsi indiquer un surdosage musical. 


Alors que les tomates du JT étaient petites (5 à 7 cm en moyenne), celles du JM étaient nettement plus grosses (8 à 10 cm). D'autre part, de l'urée fortement concentrée ayant été malencontreusement répandue sur certains pieds, ceux du JT sont morts alors que ceux du JM ont été rapidement revitalisés. Les plants eux-mêmes étaient près de deux fois plus hauts dans le JM (1 m 70, voire plus si l'on tient compte du fait qu'ils ployaient sous le poids de 20 à 30 tomates chacun) que dans le JT


(90 cm à 1 m, sauf les plants les plus proches de la ligne de séparation du JM qui atteignaient 1 m 20, tandis que de l'autre côté ils démarraient à 1 m 40, un gradient de hauteur étant ainsi nettement visible par rapport à la position des hauts-parleurs). Les plants du JT ne portaient que quelques rares fruits clairsemés (de 3 à 7 par plant en moyenne), le rendement pondéral par quantité d'eau utilisée apparaissant ainsi au total 20 fois supérieur pour un plant du JM que du JT. De plus, alors que les


tomates du JT étaient attaquées par de nombreux insectes et prédateurs, les plants plus vigoureux du JM restaient indemnes. On observait bien aussi la spécificité de l'effet, produit sur les tomates mais non apparent sur l'environnement végétal. 4. En conclusion, l'intérêt pratique de la stimulation musicale de la protéine anti-sécheresse TAS14 de la tomate est apparu si évident que les agriculteurs de la région, pourtant fort sceptiques au début de l'expérience, souhaitent maintenant utiliser cette méthode sans tarder. Une réaction typique est celle de l'un des techniciens agricoles ayant aidé au



repiquage, et qui, franchement hilare au début, n'en déclarait pas moins le 8 octobre "y avoir toujours cru" (8). N'était-ce pas un savoir-faire ancestral qui venait tout à coup de (re)trouver sa raison d'être? Références: (1) M. Ulmer, B. Gil, P. Ferrandiz et Joël Sternheimer, "Régulation épigénétique de la biosynthèse des protéines appliquée à la culture de fruits et légumes: compte-rendu d'une expérience en jardin potager", 1993. (2) J. M. Huber, C. et R. Egloff, J. F. Treyvaud, B. Dubouloz, A. Lappert et J. Sternheimer, "Régulation épigénétique de la biosynthèse de protéines appliquée à la culture de

tomates: compte-rendu d'expérience en serre", 1994. (3) J. Sternheimer, "Procédé de régulation
épigénétique de la biosynthèse des protéines par résonance d'échelle", brevet n° FR 92 06765, 1992, délivré le 13 juillet 1995. (4) J.A. Pintor-Toro, J.A. Godoy et J.M. Pardo, Plant Molecular Biology, vol. 15, p. 695 (1990). (5) J. Sternheimer, "A few hints for a better use of protein music" (in réponse au Washington Patent Office, 1996). (6) "Science-Frontières", avril 1996, p. 2; décembre 1996, p. 3. (7) P. Ferrandiz, "De la musique et des plantes", La Garance Voyageuse, printemps 1997, p. 25. (8) J.-J. Houziel, O. Gueye et F. Diagne, Compte-rendu vidéo (VHS) présenté au XIVème Festival


Science-Frontières (Cavaillon) lors de l'atelier de P. Ferrandiz, le 24 janvier 1997 (Extrait diffusé sur Canal + le 10 mai 1997).

La musique et le plantes

Invloed van variabele geluidsfrequenties op de groei en ontwikkeling van planten

Sous ce titre peu évocateur pour un francophone se dissimule le premier mémoire de fin d’études concernant notamment les travaux de Joël Sternheimer et Pedro Ferrandiz sur l’influence de certaines séquences de sons musicaux sur les plantes. Son auteur, Yannick Van Doorne, étudiant à l’Ecole Supérieure de Gand, en Belgique, au Département d’Agriculture et de Science de Biotechnologie, a soutenu avec succès en juin dernier ce mémoire intitulé en Français “Influence de fréquences sonores variables sur la croissance et le développement des plantes”. Il est aujourd’hui ingénieur industriel en agronomie. Mais il n’est pas simple pour un étudiant de s’exposer en sortant ainsi des sentiers battus et de proposer de tels sujets… guidé par un souci d’employer des méthodes un peu plus respectueuses de la nature que la pratique aujourd’hui dominante dans les disciplines biotechnologiques. Selon les travaux de Joël Sternheimer, physicien, chercheur indépendant (cf. SF n° 7), certaines séquences sonores spécifiques, dont l’enchaînement des fréquences suit des lois voisines -proches sur le plan de l’harmonie et du rythme mais distinctes dans la répartition de leurs intervalles 1 - de celles qu’on rencontre en musique, pourraient avoir une influence sur les organismes vivants. Schématiquement, selon lui, «les acides aminés, lorsqu’ils s’assem-blent pour former une protéine, émettent une onde d’échelle, à une fréquence donnée qu’il est possible de calculer. La succession de ces ondes dans une chaîne protéique en formation constituerait précisément «l’humeur» associée à cette synthèse dans l’organisme. La transposition audible de cette suite de fréquences est alors une mélodie qui vient exprimer avec précision cette humeur et est capable de rétroagir sur elle.» Ainsi en faisant écouter à un organisme la mélodie spécifique d’une protéine, cela stimulerait sa synthèse - ou l’inhiberait pour une mélodie complémentaire, en «opposition de phase» avec la précédente… Sur un plan à la fois théorique et expérimental, Joël Sternheimer travaille depuis de nombreuses années sur cette «musique des protéines» pour en comprendre les mécanismes, répondre aux multiples demandes qu’elle suscite chez les uns… Et la faire accepter par les autres2. Car les théories de Joël Sternheimer en physique quantique, qui n’ont été que fort partiellement publiées3 et discutées dans des colloques, attendent toujours une publication détaillée - et sont de toute façon, pour un néophyte, plus que complexes4. De plus, «le fait que ces travaux aient été vérifiés essentiellement par d’autres chercheurs indépendants, travaillant dans des conditions très simples, correspond certes pour moi à une préoccupation basique (d’appropriabilité par tous du progrès scientifique, en regard notamment de la «confiscation» à laquelle tentent de se livrer aujourd’hui à partir des biotechnologies, certains grands groupes multinationaux), mais n’empêche pas que des protocoles expérimentaux plus exigeants ou sophistiqués puissent être également employés», précise Joël Sternheimer. On se souviendra notamment de l’expérience des tomates africaines (cf. SF n°14). En 1996, au Sénégal, près de Dakar, une petite exploitation avait testé les effets de la «musique» de la protéine TAS 14 sur quelques milliers de plants de tomates. Cette protéine devait aider les plants à résister à la sécheresse. 3 minutes par jour, on diffusait à l’aide d’un radiocassette placé à côté des plants, la «mélodie» déduite de la séquence d’acides aminés de la TAS 14. Les résultats furent impressionnants : les plants de tomates exposés tous les jours à cette «musique» de la protéine TAS14 anti-sécheresse, sont effectivement apparus comme ayant beaucoup moins besoin d’eau et ont eu une production bien supérieure, tout en devenant plus grands que ceux, à l’autre bout du champ, qui ne bénéficiaient pas de musique mais d’un arrosage plus important, conforme à l’usage dans la région. Mais des esprits chagrins pourront toujours dire que les conditions expérimentales n’étaient pas suffisamment contrôlées en plein air et qu’il existait de multiples facteurs non surveillés scientifiquement, comme la qualité de la terre, l’ensoleillement, etc. Bref pour que tout soit pour le mieux dans le meilleur des mondes, il convenait de réaliser aussi ce type d’expérience sous contrôle, dans une serre de l’INRA ou au sein d’une université, à l’instar de ce que Pedro Ferrandiz avait réalisé pour la fermentation des levures5. C’est donc le défi qu’a relevé Yannick Van Doorne, jeune ingénieur industriel en agriculture tropicale à l’Ecole Supérieure de Gand, Belgique, avec son mémoire de 148 pages6 sur l’influence de la musique sur les plantes qui reprend, notamment, des expériences antérieurement con-duites à partir des travaux de Joël Sternheimer7. Mais tout n’a pas été simple et il faut tout de même rendre hommage à sa ténacité ! Pressions diverses, difficulté de trouver un directeur de mémoire avec un pareil sujet, refus de ce mémoire l’année dernière pour des questions de forme… Il lui aura fallu tout recommencer pour réussir cette année avec une note finale de 12 sur 20. Une pierre de plus pour la reconnaissance des travaux de Joël Sternheimer. D’autant plus qu’avec le travail de Yannick Van Doorne, on s’aperçoit qu’il existe de nombreuses recherches dans ce domaine… Eric Bony NOTES 1 Ceux-ci évitent statistiquement les dissonnances — ce qui constitue en soi, une propriété très remarquable — mais sont notablement plus grands en moyenne : 2 Le brevet de Joël Sternheimer intitulé «Procédé de régulation épigénétique de la biosynthèse des protéines par résonance d’échelle» (1992) a ainsi été délivré récemment en Australie et en Russie. 3 Joël Sternheimer, Comptes-Rendus de l’Académie des Sciences (Paris), vol. 297, page 829 (1983); pli à l’Académie n° 17064 (1992). (Ce pli a été ouvert en 1999 et est donc désormais accessible). 4 Un livre «grand public» sur le sujet, Tampakushitsu-no ongaku («qu’est-ce que la musique des protéines»), écrit par un physicien, Yoichi Fukagawa, a cependant été récemment publié au Japon (éd. Chikuma, Tokyo, 1999). 5 Pedro Ferrandiz, Industries des Céréales, n° 85, p. 40, 1993. Complété d’une étude statistique de 45 pages réalisée par un universitaire bruxellois, Jean Cumps. 6 Principalement l’expérience ariégeoise de 1993, de M. Ulmer et al., décrite dans l’ouvrage de Jean-Marie Pelt, Les langages secrets de la Nature, chapitre 18, Fayard 1996, rééd. Le Livre de Poche, n°14435.

Engrais et anti-parasites- bio

Camomille Infusion de camomille : 50 gr/litre d'eau Fleurs séchées : infusion non diluée : pulvérisation toute l'année pour légumes (cultures peu vigoureuses) Trempage des semences : renforce la vigueur Infusion 1/10 : pucerons Fleurs séchées : décoction non diuée en arrosage sur le compost : contre la pourriture dans le tas. Agit comme activateur de la vie bactérienne. En macération non diluée : en pulvérisation pour les jeunes plants : combat de nombreuses maladies en pulvérisation sur le chassis des couches : combat les mouisissures. Bicarbonate de soude Dissoudre 50 à 60 ml de bicarbonate de soude (la petite vache) dans 4 l d'eau. Ajouter 60ml de savon à vaiselle, de savon insecticide ou d'huile végétale pour augmenter l'adhérence du produit sur le feuillage. Décoction de prêle Bouillir durant 30 minutes, 60 g de prêle séché ou 400 g de prêles fraîches dans 4 l d'eau. Diluer dans 5 fois son volume d'eau avant d'asperger. Se conserve à l'abris de la lumière. Décoction de feuilles de rubarbes Bouillir durant 30 minutes, 500 g de feuilles frâiches dans 3 l d'eau, filtrer. Eau savonneuse Diluer 25 ml de savon Noir dans 4 l d'eau. Vaporiser et rincer les plants à l'eau avant que le feuillage sêche. Infusion d'absinthe, de tanasie ou de vervaine Infuser 300 g de plante fraîche ou 30 g de plante séchée dans 2 l d'eau bouillante. Laisser refroidir. Flitrer et diluer dans 8 l d'eau. Ne pas appliquer d'infusion d'absinthe et de t anasie sur de jeunes plants car elles peuvent en ralentir le développement. Macération d'ail dans l'eau Macérer 50 à 75 g d; ail dans 4 l d'eau pendant 12 heures. Filtrer et ajouter 4 ml d'alcool avant de vaporiser comme insecticide. Macération d'ail dans l'huile Macérer 100 g d'ail dans 20 ml d'huile pendant 24 heures. Ajouter 1 l d'eau et 10 ml de savon Noir ou à vaiselle. Filtrer. Diluer 20 fois avant d'appliquer. Se combine à ume macération de piment fort. Macération de ciboulette Macérer 60 ml de ciboulette dans 1 l d'eau pendant 24 heures. Filtrer Macération de piment fort Macérer 250 ml de piment fort dans 500 ml d'eau pendant 24 heures. Diluer 15 ml de cette préparation dans 4 l d'eau avant d'appliquer. Ne pas pulvériser sur de jeunes plants. Purin d'ortie Macérer durant 3 - 4 jours 75 g d'ortie fraîche ou 15 g d'ortie séchée dans 1 l d'eau. Ne se conserve pas. Solution salée Ex15 ml de sel dans 4 l d'eau

TOMATE CHAIR DE BOEUF

BEEFSTEAK

Beefsteak Tomatoes
La forme de ces feuilles ne m'est pas inconnus, une recherche s'impose pour les nommer
Le pimentier est dans un pot de terre, à son pied poussent d'autres plants de pimentier, un plant a déjà été repiqué dans une jardinière avec voisin du basilic à feuille de salade.
Je ne sais pas comment sera ce plant d'aubergine une fois adulte, les pots sont un peu trop petit, mais la logistique ne suit plus...
Ces tomates ont été utilisés pour la confection d'une sauce au basilic qui accompagné des pâtes au dîner.
Le basilic à feuille de salade dont le semis a été fait en mars,je le laisse fleurir pour ensuite récupérer les graines.

samedi 21 juillet 2007

Je supprime quelques fleurs pour permettre aux tomates adultes de finir leurs croissance, c'est avec un pincement au coeur que je les aient enlevées. La théorie de la suppression des fleurs ou des gourmands n'est basé sur rien de scientifique, mais sur une expérience populaire...ceci reste donc à vérifier.
Une architecture des tiges "figuration libre"
La tomate du milieu me rapelle la forme d'une figue
Une super équipe de tomates chair de boeuf en pleine croissance
Je suis impatient que ces chairs de boeuf changent de couleur...
Poivron avec une deuxième fleur qui s'ouvre.
La fameuse courgette "verte non coureuse d'Italie", alors pour ceux que cela interesse je crois que "non coureuse" veux dire qu'elle ne s'étend pas sur une grande distance (à vérifier).
Ce qu'il y'a d'étonnant c'est la fragilité des tiges, creuses , elles se cassent très facilement, donc j'éssaie d'intervenir le moins possible.
My sweet Garden :)

vendredi 20 juillet 2007

Aubergines Slim Jim
Les tomates mures sont cueillis au fur et à mesure pour être consommé
Il y'a un plant de courge "verte non coureuse d'Italie" qui se fraie un chemin dans le dédales de feuilles dans cet espace "Rurbain" que constitue mon balcon.
J'ai resémé le basilic à feuille de laitue il y'a deux semaines.

Semis de basilic pourpre, un peu tard pour les semis, je les rentre à l'intérieur un fois le froid venus.

semis de "Navet Des Vertus Marteau", c'est le premier légume racine que je teste, à suivre.

L'aubergine Imperial Black Beauty :
Cette photo ne viens pas de mon balcon, pour l'instant :)Très ancienne variété populaire produisant de 4 à 6 gros fruits ovoïdes (et même plus lorsqu'ils sont cueillis de façon régulière) de 400 g à 1kg 200 et de couleur noire. Les fruits possèdent une bonne capacité de conservation et sont exempts d'épines. Plantes de 45 cm de hauteur. Il est conseillé de les tuteurer. Croissance: 75-85 jours. En 1875, il n'existait aux USA que trois variétés d'aubergines cultivées, à savoir Large Early Purple (Violette longue hâtive), Large Round Purple (Violette ronde très grosse) et Black Pekin (Noire de Pékin). Selon le Maryland Farmer (juillet 1887), cette dernière variété avait été introduite, de Chine, aux USA, en 1866, par le semencier Charles Hovey de Boston. La variété “Imperial Black Beauty” fut introduite en 1902 et résulta d’un croisement entre la Noire de Pékin et la Violette longue hâtive. Imperial Black beauty, appelée parfois “Black Beauty” rencontra un immense succès chez les jardiniers vivant dans des régions à courte saison de croissance. Elle est réputée produire jusqu’à 10 fruits
Navet Des Vertus Marteau Les racines blanches font 12-16 cm de longueur. Elles sont presque cylindriques et renflées dans la partie inférieure, qui est complètement obtuse. La chair est blanche, très tendre et sucrée. Le feuillage est abondant, très divisé et de couleur vert foncé. Il est conseillé de récolter les jeunes racines car elles ont tendance ensuite à devenir creuses. Cette très ancienne variété est originaire de France. Elle est mentionnée dans l’ouvrage de Vilmorin-Andrieux “Les Plantes Potagères” (1885). Elle est appelée également “Jersey Navet” et “Long White Vertus”.
Pastèque Charleston Gray Les fruits sont très longs et l’épiderme, très épais, est de couleur vert clair. Ils font de 12 à 20 kg. La chair est de couleur rouge, de fine texture et de saveur sucrée. Les graines sont grosses et de couleur brun noir. Cette variété est très résistante aux grosses chaleurs de l’été. Elle est également beaucoup plus résistante au fusarium et à l’anthracnose. Croissance: 85 jours. C’est une amélioration de la variété Charleston Gray. Cette variété fut créée en 1954 par le Southeast Vegetable Breeding Lab dans la Caroline du sud aux Etats-Unis. Elle est issue de croisements entre “Iowa Belle”, “Garrison”, “Hawkesbury” et “Leesburg”. Concombre White Wonder de couleur blanche à tous les stades de croissance. Fruits de 12-15 cm. Variété utilisée pour les salades ou les conserves. Très grande productivité même durant les périodes de grande chaleur. Croissance: 58 jours. Très ancienne variété datant de 1893 et introduite dans le catalogue de W. Atlee Burpee de Philadelphie qui obtint la semence d’un jardinier de New-York.
On note le nom de la variété, l'année, dans une envellope que l'on place dans une boite en fer par exemple. La durée de vie des graines varie entre 2 et 4 ans, en moyenne, mais la faculté germinative est propre à chaque espèce. Il n’est donc pas utile de produire tous les ans les mêmes semences, mais plus judicieux d’établir un roulement dans leur production
Le test de germination doit se réaliser pour s’assurer de la viabilité des lots de graines conservés. Dans une coupelle garnie de coton, disposez une dizaine de graines et placez-les près d’une source de chaleur douce, à proximité du rayonnement indirect d’un radiateur, par exemple. En quelques jours, vous pourrez évaluer la vitalité des semences par un un simple comptage des graines germées. N’utilisez pas de lots dont moins de 50% des graines ont germé lors du test, c’est le signe qu’il manque une grande partie de leur vitalité.
Voici mes achats de graines sur Internet de l'année 2007
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