Si vous ne possedez pas de jardin, vous pouvez essayez les pots, surprises garanties.Le potager urbain, certaines variétés se plaisent très bien en pot.
lundi 30 juillet 2007
samedi 28 juillet 2007
L'aventure des tomates en pots
Un enchantement pour les yeux et la saveur unique d'une tomate dont on connais toutes les étapes avant d'arriver dans l'assiette.
Poids de cette première tomate :132 grammes Variété : (inscrite comme coeur de boeuf, mais je pense que c'est une chair de boeuf ( à vérifier) Dimension du pot : 25cm de diamètre, 25cm de profondeur (trop petit!!) Tomates sur le pied :12 Tomates perdues:8
jeudi 26 juillet 2007
La spiruline
Arrosage
La FAO constate dans un rapport que l'agriculture bio est capable de nourrir la planète
mercredi 25 juillet 2007
L'or..tie
dimanche 22 juillet 2007
La musique mes plantes et moi
Expérience en Plein Air au Sénégal
Mansour et Ousmane Gueye, Fitory Diagne, Jacques-Joël Houziel, Pedro Ferrandiz et Joël Sternheimer
Résumé: Une expérience a été conduite de juillet à octobre 1996 dans la région sud de Dakar (Sénégal), déstinée à observer et évaluer l'effet, sur plusieurs centaines de plants de tomates cultivés en plein air, de la stimulation épigénétique par résonance d'échelle de la protéine TAS14 anti-sécheresse, étudiée précédemment. Pour une diffusion musicale de 3 minutes par jour, le rendement spécifique des cultures a été multiplié par 20. 1. Plusieurs expériences antérieures (1, 2, 7) ont
confirmé l'intérêt, attendu (3) de par de ses homologies musicales, de la stimulation épigénétique de la protéine TAS14 (4) de résistance à la sécheresse chez la tomate. L'homologie de son thème musical avec diverses protéines heat shock et son anti-homologie avec le thème de l'ACTH humaie (asséchante) conduisaient de plus à prévoir sa bonne tolérance par temps chaud chez l'homme en cas d'écoute accidentelle, hormis les contre-indications prévisibles d'oedème ou d'insuffisance rénale.
Une expérimentation préalable en Afrique par un volontaire humain -- qui a lui-même spontanément diminué par un facteur 2 sa ration d'eau quotidienne pendant une semaine en l'écoutant une fois par jour (5) -- nous a ainsi conduit à répondre favorablement à l'offre de la société Recofi de l'expérimenter sur place, dans la région de Dakar, sur des cultures de tomates (6-8). 2. Du 18 au 21 juillet 1996, plusieurs centaines de plants de tomates ont été repiqués dans un jardin situé dans une
région sèche à cent kilomètres au sud de Dakar. Celui-ci a été alors divisé en deux parcelles égales et jointives, dénommées ci-après jardin témoin (JT) et jardin musical (JM). Une fois par jour, les plants du jardin musical étaient soumis pendant 3 minutes à la diffusion de la séquence musicale de la protéine TAS14 à l'aide d'un radio-cassette ordinaire du commerce. Après avoir enclenché la cassette,
les opérateurs s'éloignaient puis revenaient à la fin de sa diffusion. Cette opération était renouvelée à deux reprises en déplaçant à chaque fois de trois mètres le radio-cassette, afin de couvrir la totalité du JM. En raison de l'effet attendu au vu des expériences précédentes, le JT était arrosé deux fois par jour (pour éviter la dessication de ses plants), et le JM une seule fois, complétée donc par la diffusion musicale. L'ensoleillement était identique sur la quasi-totalité des deux parcelles hormis un lot de
quelques plants situés à l'ombre; la (faible) pluviométrie et la température (élevée) étaient bien sûr identiques. 3. Le 29 juillet, après 11 jours de diffusion, l'accélération de la croissance des plants du JM par rapport au JT était déjà très apparente. Des piquets ont été alors dressés pour servir de support aux plantes. Cette différence s'est accentuée encore les jours suivants. Le 20 août, les plantes musicales, arrosées pourtant une seule fois par jour apparaissent bien plus longues et plus touffues que les plantes sans musique arrosées deux fois par jour. Le 16 septembre, le rendement en fruits du
JM apparaît nettement significatif, 10 à 20 fois supérieur suivant les endroits à celui du JT, normalement faible en l'absence d'engrais. Les tomates musicales pour la majeure partie craquent avant de mûrir au niveau du calice, apparemment par effet "saucisse de Francfort" du soleil cuisant sur des tomates gorgées d'eau. Cet effet était confirmé lors d'un relevé plus systématique effectué le 8 octobre par 3 d'entre nous (O.G., F.D. et J.J.H) (8), paraissant ainsi indiquer un surdosage musical.
Alors que les tomates du JT étaient petites (5 à 7 cm en moyenne), celles du JM étaient nettement plus grosses (8 à 10 cm). D'autre part, de l'urée fortement concentrée ayant été malencontreusement répandue sur certains pieds, ceux du JT sont morts alors que ceux du JM ont été rapidement revitalisés. Les plants eux-mêmes étaient près de deux fois plus hauts dans le JM (1 m 70, voire plus si l'on tient compte du fait qu'ils ployaient sous le poids de 20 à 30 tomates chacun) que dans le JT
(90 cm à 1 m, sauf les plants les plus proches de la ligne de séparation du JM qui atteignaient 1 m 20, tandis que de l'autre côté ils démarraient à 1 m 40, un gradient de hauteur étant ainsi nettement visible par rapport à la position des hauts-parleurs). Les plants du JT ne portaient que quelques rares fruits clairsemés (de 3 à 7 par plant en moyenne), le rendement pondéral par quantité d'eau utilisée apparaissant ainsi au total 20 fois supérieur pour un plant du JM que du JT. De plus, alors que les
tomates du JT étaient attaquées par de nombreux insectes et prédateurs, les plants plus vigoureux du JM restaient indemnes. On observait bien aussi la spécificité de l'effet, produit sur les tomates mais non apparent sur l'environnement végétal. 4. En conclusion, l'intérêt pratique de la stimulation musicale de la protéine anti-sécheresse TAS14 de la tomate est apparu si évident que les agriculteurs de la région, pourtant fort sceptiques au début de l'expérience, souhaitent maintenant utiliser cette méthode sans tarder. Une réaction typique est celle de l'un des techniciens agricoles ayant aidé au
repiquage, et qui, franchement hilare au début, n'en déclarait pas moins le 8 octobre "y avoir toujours cru" (8). N'était-ce pas un savoir-faire ancestral qui venait tout à coup de (re)trouver sa raison d'être? Références: (1) M. Ulmer, B. Gil, P. Ferrandiz et Joël Sternheimer, "Régulation épigénétique de la biosynthèse des protéines appliquée à la culture de fruits et légumes: compte-rendu d'une expérience en jardin potager", 1993. (2) J. M. Huber, C. et R. Egloff, J. F. Treyvaud, B. Dubouloz, A. Lappert et J. Sternheimer, "Régulation épigénétique de la biosynthèse de protéines appliquée à la culture de
tomates: compte-rendu d'expérience en serre", 1994. (3) J. Sternheimer, "Procédé de régulation
épigénétique de la biosynthèse des protéines par résonance d'échelle", brevet n° FR 92 06765, 1992, délivré le 13 juillet 1995. (4) J.A. Pintor-Toro, J.A. Godoy et J.M. Pardo, Plant Molecular Biology, vol. 15, p. 695 (1990). (5) J. Sternheimer, "A few hints for a better use of protein music" (in réponse au Washington Patent Office, 1996). (6) "Science-Frontières", avril 1996, p. 2; décembre 1996, p. 3. (7) P. Ferrandiz, "De la musique et des plantes", La Garance Voyageuse, printemps 1997, p. 25. (8) J.-J. Houziel, O. Gueye et F. Diagne, Compte-rendu vidéo (VHS) présenté au XIVème Festival
Science-Frontières (Cavaillon) lors de l'atelier de P. Ferrandiz, le 24 janvier 1997 (Extrait diffusé sur Canal + le 10 mai 1997).
La musique et le plantes
Invloed van variabele geluidsfrequenties op de groei en ontwikkeling van planten
Sous ce titre peu évocateur pour un francophone se dissimule le premier mémoire de fin d’études concernant notamment les travaux de Joël Sternheimer et Pedro Ferrandiz sur l’influence de certaines séquences de sons musicaux sur les plantes. Son auteur, Yannick Van Doorne, étudiant à l’Ecole Supérieure de Gand, en Belgique, au Département d’Agriculture et de Science de Biotechnologie, a soutenu avec succès en juin dernier ce mémoire intitulé en Français “Influence de fréquences sonores variables sur la croissance et le développement des plantes”. Il est aujourd’hui ingénieur industriel en agronomie. Mais il n’est pas simple pour un étudiant de s’exposer en sortant ainsi des sentiers battus et de proposer de tels sujets… guidé par un souci d’employer des méthodes un peu plus respectueuses de la nature que la pratique aujourd’hui dominante dans les disciplines biotechnologiques. Selon les travaux de Joël Sternheimer, physicien, chercheur indépendant (cf. SF n° 7), certaines séquences sonores spécifiques, dont l’enchaînement des fréquences suit des lois voisines -proches sur le plan de l’harmonie et du rythme mais distinctes dans la répartition de leurs intervalles 1 - de celles qu’on rencontre en musique, pourraient avoir une influence sur les organismes vivants. Schématiquement, selon lui, «les acides aminés, lorsqu’ils s’assem-blent pour former une protéine, émettent une onde d’échelle, à une fréquence donnée qu’il est possible de calculer. La succession de ces ondes dans une chaîne protéique en formation constituerait précisément «l’humeur» associée à cette synthèse dans l’organisme. La transposition audible de cette suite de fréquences est alors une mélodie qui vient exprimer avec précision cette humeur et est capable de rétroagir sur elle.» Ainsi en faisant écouter à un organisme la mélodie spécifique d’une protéine, cela stimulerait sa synthèse - ou l’inhiberait pour une mélodie complémentaire, en «opposition de phase» avec la précédente… Sur un plan à la fois théorique et expérimental, Joël Sternheimer travaille depuis de nombreuses années sur cette «musique des protéines» pour en comprendre les mécanismes, répondre aux multiples demandes qu’elle suscite chez les uns… Et la faire accepter par les autres2. Car les théories de Joël Sternheimer en physique quantique, qui n’ont été que fort partiellement publiées3 et discutées dans des colloques, attendent toujours une publication détaillée - et sont de toute façon, pour un néophyte, plus que complexes4. De plus, «le fait que ces travaux aient été vérifiés essentiellement par d’autres chercheurs indépendants, travaillant dans des conditions très simples, correspond certes pour moi à une préoccupation basique (d’appropriabilité par tous du progrès scientifique, en regard notamment de la «confiscation» à laquelle tentent de se livrer aujourd’hui à partir des biotechnologies, certains grands groupes multinationaux), mais n’empêche pas que des protocoles expérimentaux plus exigeants ou sophistiqués puissent être également employés», précise Joël Sternheimer. On se souviendra notamment de l’expérience des tomates africaines (cf. SF n°14). En 1996, au Sénégal, près de Dakar, une petite exploitation avait testé les effets de la «musique» de la protéine TAS 14 sur quelques milliers de plants de tomates. Cette protéine devait aider les plants à résister à la sécheresse. 3 minutes par jour, on diffusait à l’aide d’un radiocassette placé à côté des plants, la «mélodie» déduite de la séquence d’acides aminés de la TAS 14. Les résultats furent impressionnants : les plants de tomates exposés tous les jours à cette «musique» de la protéine TAS14 anti-sécheresse, sont effectivement apparus comme ayant beaucoup moins besoin d’eau et ont eu une production bien supérieure, tout en devenant plus grands que ceux, à l’autre bout du champ, qui ne bénéficiaient pas de musique mais d’un arrosage plus important, conforme à l’usage dans la région. Mais des esprits chagrins pourront toujours dire que les conditions expérimentales n’étaient pas suffisamment contrôlées en plein air et qu’il existait de multiples facteurs non surveillés scientifiquement, comme la qualité de la terre, l’ensoleillement, etc. Bref pour que tout soit pour le mieux dans le meilleur des mondes, il convenait de réaliser aussi ce type d’expérience sous contrôle, dans une serre de l’INRA ou au sein d’une université, à l’instar de ce que Pedro Ferrandiz avait réalisé pour la fermentation des levures5. C’est donc le défi qu’a relevé Yannick Van Doorne, jeune ingénieur industriel en agriculture tropicale à l’Ecole Supérieure de Gand, Belgique, avec son mémoire de 148 pages6 sur l’influence de la musique sur les plantes qui reprend, notamment, des expériences antérieurement con-duites à partir des travaux de Joël Sternheimer7. Mais tout n’a pas été simple et il faut tout de même rendre hommage à sa ténacité ! Pressions diverses, difficulté de trouver un directeur de mémoire avec un pareil sujet, refus de ce mémoire l’année dernière pour des questions de forme… Il lui aura fallu tout recommencer pour réussir cette année avec une note finale de 12 sur 20. Une pierre de plus pour la reconnaissance des travaux de Joël Sternheimer. D’autant plus qu’avec le travail de Yannick Van Doorne, on s’aperçoit qu’il existe de nombreuses recherches dans ce domaine… Eric Bony NOTES 1 Ceux-ci évitent statistiquement les dissonnances — ce qui constitue en soi, une propriété très remarquable — mais sont notablement plus grands en moyenne : 2 Le brevet de Joël Sternheimer intitulé «Procédé de régulation épigénétique de la biosynthèse des protéines par résonance d’échelle» (1992) a ainsi été délivré récemment en Australie et en Russie. 3 Joël Sternheimer, Comptes-Rendus de l’Académie des Sciences (Paris), vol. 297, page 829 (1983); pli à l’Académie n° 17064 (1992). (Ce pli a été ouvert en 1999 et est donc désormais accessible). 4 Un livre «grand public» sur le sujet, Tampakushitsu-no ongaku («qu’est-ce que la musique des protéines»), écrit par un physicien, Yoichi Fukagawa, a cependant été récemment publié au Japon (éd. Chikuma, Tokyo, 1999). 5 Pedro Ferrandiz, Industries des Céréales, n° 85, p. 40, 1993. Complété d’une étude statistique de 45 pages réalisée par un universitaire bruxellois, Jean Cumps. 6 Principalement l’expérience ariégeoise de 1993, de M. Ulmer et al., décrite dans l’ouvrage de Jean-Marie Pelt, Les langages secrets de la Nature, chapitre 18, Fayard 1996, rééd. Le Livre de Poche, n°14435.
Engrais et anti-parasites- bio
samedi 21 juillet 2007
vendredi 20 juillet 2007
Semis de basilic pourpre, un peu tard pour les semis, je les rentre à l'intérieur un fois le froid venus.
semis de "Navet Des Vertus Marteau", c'est le premier légume racine que je teste, à suivre.